Après une nuit dans l'auberge de jeunesse et une balade en ville, nous achetons notre matériel de survie : carte routière et carte de randonnée, vivres, eau, eau, eau.
Pour humer l'atmosphère d'un parc, rien de mieux qu'une belote
auprès des joueurs d'échecs. À 13h, nous prenons possession de la Dacia Logan
réservée par Romain et nous nous mettons en route.
Il n'est pas question de nous attaquer à la Transfagaraşan
aujourd’hui : le temps file à toute allure et en fin d’après-midi il faut
nous mettre en quête d’un lieu où planter les tentes. Impossible de trouver le
camping indiqué sur notre carte : d’après ce que j’ai compris, il n’existe
tout simplement pas (ce n’est que le premier de la série des
campings-fantômes). À Sâmbăta de Sus, nous frappons à la porte d’une pension.
La gérante nous offre un coin de jardin pour la nuit : nous bivouaquons
entre une balançoire et une cabane en bois.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire