dimanche 14 juillet 2013

Concubinage, miaulements

Budapest, j'en suis tombée amoureuse, et je suis vraiment mordue. Je crois que Sou Linne est dans le même état.

Nous décidons de nous y installer quelques semaines, dans un an ou deux, pour rédiger notre thèse. J'imagine très bien un printemps hongrois teinté de limonades et d'eaux thermales.

Quand nous passons devant une agence immobilière, Sou Linne s'arrête pour jeter un coup d’œil aux appartements. Les projets les plus fous commencent toujours par un rêve éveillé, non ?


Un employé de l'agence sort et nous en profitons pour faire un brin de causette. Il nous demande si nous cherchons un logement. Je dis "oh la oui, mais ce n'est pas pressé : pas avant 2015." Il ne se démonte pas et, très gentil, nous donne des tas de conseils sur les quartiers à habiter et ceux à éviter. Je crois qu'il est intrigué (ce n'est pas le premier) par notre tandem franco-coréen.

Nous reprenons notre chemin. Je m'exerce, pour la énième fois de la journée, à compter jusqu'à dix en coréen. J'ai appris quelques mots, et j'ai pour mission de parler avec mon vieux chat quand je rentrerai en France. Sou Linne lui a enseigné le coréen à Noël et elle a peur qu'il n'oublie tout, faute de pratique.

1 commentaire:

  1. T'es vraiment modeste mais il faut dire que tu sais compter jusqu'a 99 en coréen. Sinon, dans cette photo j'ai vraiment une tete de folle. Cela prouve que j'avais tellement envie de trouver un logement estival convenable pour nous deux à Budapeste, haha.

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